mercredi 30 mai 2012

Djen'goko dans la presse !

Un nouveau festival multiculturel
verra le jour les 7 et 8 juillet prochains,
à Peumerit. Organisé par
l’association Djenkadi-France
apportant son soutien aux orphelins
de la province du Boulkiemdé
au Burkina-Faso, c’est un pari un
peu fou qu’une poignée de personnes
ont eu envie de tenter.

Artistes et bénévoles mobilisés

Deux principaux acteurs à l’origine
du projet : Sidou et Stéfou,
deux amoureux de l’Afrique souhaitant
partager leur passion et
leur envie d’aider ces enfants,
qu’ils ont déjà rencontrés sur place
lors de plusieurs voyages. Ils
ont rassemblé des artistes et des
bénévoles qui se mobiliseront
pour cette cause.
Ainsi, pendant deux jours, le festival
proposera quantité d’animations
entre salle polyvalente,
plein air et trois yourtes sur le site
de Lanvréon à Peumerit. Des
concerts de musique africaine ou
aborigène d’Australie auront lieu
en plein air et seront libres d’accès.
Les découvertes culinaires
autour de l’Italie, l’Asie, l’Afrique
seront proposées pour des casse-croûtes
sur place. La participation
à l’entrée sera volontaire mais
des initiations à la danse, aux percussions,
au yoga du rire ou les
contes musicaux seront proposés
en intérieur et seront payants.



Construire un orphelinat

L’objectif de ce festival est une
action concrète : la construction
d’un orphelinat. Tous les bénéfices
seront employés à ce projet.
Stéphanie explique : « Les artistes
et les personnes qui nous
aident sont bénévoles, le terrain
est prêté ainsi que la salle. Les
dépenses concernent les locations
de matériel comme la sono,
l’estrade et barnum… C’est un
budget conséquent mais heureusement
les gens sont très enthousiastes
à l’idée de nous aider
pour ce festival ».

Djenkadi-France :

Une association active
Récolter des dons, vendre de l’artisanat,
organiser des concerts,
des soirées contes, des marchés
solidaires, parrainages… Tout est
fait pour sensibiliser à la cause
qui anime cette association, née
en 2005 suite à un voyage de
lycéens choqués par les conditions
de vie des enfants des rues,
livrés à eux-mêmes. Stéfou raconte :
 « Quand on a fait ce voyage,
ça a été un déclic pour moi. J’ai
accroché tout de suite à leur culture.
Leur accueil est toujours tellement
incroyable ! En rentrant, on
a décidé de créer Djenkadi-France
et d’oeuvrer pour aider ces
enfants ». 

Publié dans le télégramme le mercredi 30 Mai 2012 (Page Cornouaille)

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